Ma réalité n’est qu’illusions, pourvu que mes rêves soient exaucés…
Encore un souhait dénigré par tous les génies, par toutes les fées.
Juste désenchantée de la vie d’ici vide et vicié
Mon mirage d’existence, tout ces faux, corrompus et perfides
Assoiffés des larmes des pucelles débauchées.
Juste ma triste romance à pleurer les disparus d’atlantide.
Où mèneront mes pas chancelant dans la vase du monde ?
Parfois, je semble aspirer par ce marais odieux
Et plus je me débat pour m’en extraire, plus l’immonde
Couvre mon corps encore, encore, d’un voile hideux.
Même l’écume d’un océan ne suffirait pas à laver ce sentiment
Souillée par l’engrenage imposé par l’homme
Je suis fragile, sans aucun sens, insignifiante, évidemment.
La vie m’a eu mais n’aura pas mon rhum.
Des Alcools entêtants sont mes rêves illicites et désirs illégaux
Toujours une bouteille à la main. Une bouteille a la mer ?
Escapade trop fugitive au paradis, les mots s’emparent des maux
Tel le coffre aux trésors pillé par des pirates sanguinaires.
Ma réalité n’est qu’une magie tantôt maléfique tantôt féerique
Encore une certitude hypothétique venu d’un souffle étique.
Marie