J'aimerais que tu me dises que tu es fier de moi, combien je compte pour toi, que tes regards méprisants cessent de brûler ma confiance déjà incertaine, que tes sourires ne soient plus des faux semblants dont tu as le secret, que tu me parles, que tu me parles différemment qu'a une gosse incapable de saisir quoique se soit, que tu taises ces affreuses colères, que tes paroles à mon égard soient autre que des gifles mordantes...
Comme j'aurais aimé que tu me le dises avant de partir, mais tu as choisit le silence, tu as préféré m'oublier puis me blesser encore et nos chemins se séparent un temps sur cette minable incompréhension. Je le regrette sincérement.