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-_- * PoUrQuOi PaS? * -_-
09/09/2005 18:15
Douce Cendrillon n’aurait jamais connut l’amour ?
Des vampires logeraient en HLM à Tours ?
Belle aux bois dormant serait narcoleptique ?
Cher père noël qu’une invention d’alcooliques ?
La souris verte corrompue par un camembert ?
Petit Chaperon rouge aurait tué grand-mère ?
Et pourquoi pas ?
Esprit vagabond, laisse ton imagination
Errer de ça et la, exempt de conventions.
Et juste une fois,
Bercé par l’incongru, laisse ton génie ému
S’oublier en bon ingénu, rêver a nu.
Marie
Commentaire de Suzy (25/09/2005 12:43) :
Je suis fan de toi, fan de ça
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* LiVrE D'Or *
31/08/2005 15:16
J'ai crée un Livre d'or pour ce ptit blog, alors s'il vous prend l'envie de m'y laisser un ptit mot sur vos sentiment vis a vis de cette poubelle à émotions, n'hésitez pas, au contraire! (en plus de vos adorables commentaires! )
http://www.livre-dor.net/livre2.php?livredor=19073
Oui, tant qu'a faire j'en profite pour tous vous remerciez pour vos encouragements ou vos plus simples messages. Bref, ca me fait énormément plaisir de découvrir chaque fois un nouveau commentaire.
Soit disant passant mais il me semble indispensable de le souligner et de respecter son travail et talent, le fond d'écran de mon livre d'or est une toile nommée "confusion des sentiments" (...) par Bruno Cantais
Commentaire de Chouille (07/09/2005 16:25) :
En voilà une bonne idée, mais pourquoi est-ce que je n'arrive pas à
aller dessus ? Au sicour !
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Commentaire de Chouille (07/09/2005 16:26) :
En voilà une bonne idée, mais pourquoi est-ce que je n'arrive pas à
aller dessus ? Au sicour !
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*Angoisse*
23/08/2005 20:40
Angoisse du passé, angoisse du futur,
je vais ou la?? Tout droit, sans jamais me retourner c'est cela la vie? Désolé, désolé, des flashes me prennent sans prévenir et mes tripes se retournent, ya pas de détours aux souvenirs, ils font toujours l'amour au présent et c'est si troublant que j'angoisse, j'angoisse...Je pense au pire, j'imagine l'avenir. J'entends les larmes sur les pavés, celles d'hier, si près de l'enfer. Je touche les cris de voix brisées ceux de demains, à portée de mains...
Ecoute moi mais ne m'entends pas, peut etre te rendrais je fou, comme d'autres ont souffert pour moi, non je ne voudrais pas. Oui, laisse moi plutot, moi et moi a prier le passé de me laisser passer , à maudire le future de sa torture; il n'existe pas encore et pourtant il est si déroutant, ma route est tortueuse, je ne veux plus être malheureuse. J'angoisse d'angoisser ainsi, de quel droit?? Pas a plaindre, tout va bien. Non. Peut etre. J'angoisse quand même. Désolé. Besoin de se déculpabiliser, rien fait, et alors? Ou est la différence? Aucunes évidences. C'est toujours le même acide qui ronge mes sangs. Sans trêve, cent rêves à confondre a force de me morfondre.
Je vais ou la? Pas en arrière, oublier, effacer, exterminer, voila! Quoique.. je ne pourrais détruire les quelques fleurs des prairies d'hivers. Pas en avant, mes pas patinent devant moi, mon destin ouvre sa gueule béante, je ne veux pas m'y jetter... Rester ici à méditer sur mes regrets, mes remords, mes actes et agissements aussi incompréhensibles soient t'ils, pour vous, comme pour moi? C'est cela je ne parviens pas a saisir ce qui me scelle a cette noirceur coulant dans mes veines. Rien de mon vécu n' a de sens et je ne veux rien enscencer, mais...Des ombres m'ensorcellent, rien que mon clavier est hanté, mes doigts ont des ailes pour frapper le sombre..
Je vais ou la? Droite, gauche. Gauche, droite.. Juste perdue au creux d'une angoisse nue de toute explication. Mais, Ai-je réellement envie de trouver la rue menant à la ville bondée mais si vide? Une ondée jamais timide sans intimité aucune.
J'angoisse de questions, j'oppresse les solutions.
Marie
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-O- Muse en perdition -O-
13/08/2005 13:59
Déjà peu fortunée, voici qu'a présent mon inspiration gît à mes pieds.
Elle me regarde l'air benêt puis me lorgne de son oeil accusateur.
Soit, peut être n'ai je aucun alibi, mais nul mobile ne peut m'inculper ;
Achever de mes propres poings mes plus sincères battements de coeur?
En voici un bien beau paradoxe, ou dirais-je même, un acte un poil désopilant.
Malgré ma sottise unanime, je ne revêtirais point les haillons d'un piteux bouffon.
Alors, petite lueur de ma bulle tant obscur que morose, embrase encore mon sang.
De ta force incandescente souffle-moi une audacieuse brise, l'inspiration.
Je t’implore par ces quelques pouilleuses phrases, n’y voit aucune avanie.
Et bien au contraire, il est ici ma présomptueuse prière: répandre un jour la lumière.
Marie
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° _Martyr De La Passion _ /°
11/08/2005 15:38
Parfois elle tremble; son regard est fou et sa voix brulante, des gestes brutaux l'anime soudain comme si une force sauvage c'était emparée de son corps, mais il ne lutte pas, au contraire, il se soumet a elle, ainsi l'esclave à son maître. Alors, elle se résonne, et répète inlasablement qu'il s'agit d'un simple excès de ses nerfs si suceptibles et que d'ici quelques minutes il l'a prendra de nouveau dans ses bras, lui chuchotant tout bas quelques tendres paroles. Ainsi enragé tel un lion affamé entre milles gazelles, ce fauve n'hésite pas à porter la main sur elle, raillant ces cris, méprisant ces larmes. Son visage est méconnaissable lors de ses crises de démences; ses prunelles aux reflets de l'océan deviennent tempete et ouragan, son sourire sucré se fige en une grimace amer. Elle attend patiemment mais non sans angoisse et terreur le dernier souffle du cyclone. Recroquevillée sur elle même, sa violence torture ses entrailles et manque de faire chavirer son coeur. Pourtant malgrès sa fureur, elle pardonne chaun de ses coups, excuse chaque meurtrissure laissée sur sa peau délicate. Blessures aux teintes nuancées qu'elle dissimulera ensuite avec le plus grand soin. Elle culpabilise, elle aurait dut savoir son tourment et être à son écoute. Elle le supplit de l'aimer encore. Comme a chaque fois il lui promet qu'un tel incident ne se reproduira plus. Elle le croit, car c'est là son voeu le plus cher, martyr de la passion. Dans un dernier acte d'une élégance rare, il dépose un baiser sur son front satiné, juste auprès d'une belle écchymose.
Marie
Commentaire de Suzy (26/08/2005 10:00) :
C'est très beau, comme d'habitude, en espèrant que ce soit le
fruit de ton imagination débridée et non la réalité.
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